Une timide...

Kaliandra regardait depuis déjà plusieurs lunes le groupe installé autour du feu de camp. Elle si timide, si réservée, se voyait mal aller là bas et "taper la discute". Pourtant, plus le temps passait et plus elle se disait qu'ils devaient être bien là-bas, à s'amuser, à rire ...

Un soir, elle décida de sortir de sa tente et alla voir ce qui se passait ...

Elle arriva autour du feu, où soudain, les voix se turent. Tous la regardaient. Elle rougit violemment et bafouilla :

- Euh ... salut ! Je m'apelle Kaliandra et euh .... ben voilà je suis nouvelle ... J'espère qu'on s'entendra bien tous ensemble... et euh voilà... Je connais pas tous le monde encore, mais MoA m'a beacoup parlé. Salut MoA ! en faisant un signe à quelqu'un de l'assistance.

Et euh .. voilà, si vous avez des question, n'hésitez pas.

- Salut kali.

une homme jeune, intégralement tatoué et à la gestuelle vaguement théâtrale l'apostrophe.

- Rien ne vaut la vie nomade ma fille, et avec les Têtes Brulées t'as pas de soussi à te faire. On et solidaire, on est pas de ces chacals qui pillent les touristes. Enfin pour le moment... Faut admettre qu'on a pas des masse de boulots en ce moments...

- Mais bon voila. Et toi pt'ite file ? Tu viens d'ou ? Tu vas ou ? C'est idiot mais on viens de quelque part.. ET aussi étrange que cela puisse sembler.... On vas tous quelques part...

La jeune femme sembla retourner la question dans sa tête, puis répondit :

- D'où je viens ? Ca peut sembler bizarre, mais ... même moi je ne le sais pas. Comme une gueule de bois après une cuite, mais en plus violent ... Dans ma tête ... le vide, le néant, un gouffre, rien.

- Et où je vais ? Alors ça aussi c'est une autre bonne question... Je n'en sais rien .... J'ai juste un vague souvenir, une image... une ville, une grande ville ... mais impossible de savoir laquelle ...

Pour l'instant, je compte rester dans ce désert avec des gens accueillants et trouver par ci par là, des indices, qui m'aideront peut-être à trouver là où je dois aller ...

Merci en tout cas de votre accueil chaleureux

Une femme petite donnant l'impression d'etre une adolecente pris la parole.

Salut kaliandra, je suis orina, chaseuse et je connais quelque truc sur la construction.
Normalement il y a aucune raison que l'on ne s'entende pas. on a de tout dans le groupe alors il ne te reste que a trouver les personnes avec qui tu te sens bien !

autrement si je devais te demander des choses je poserai a peut pres les même question que lucky. Mais comme tu a deja repondu.

orina fit un petit sourire

- Et bien moi je te dirait ma fille que si tu sais pas d'ou tu viens cela n'a aucune forme d'importance.

On est toujours déçus par les lieux de notre enfance... On s'y remémore les baffes de papa... Les hurlement de maman... les voisins qui font des salades pour des conneries.... Et la première fois ou tu as eut des rapport sexuelle avec un chien....

Au fond il vaux mieux oublier tout çà...

* Songeur *

- Quant à là ou aller... Pffff

Des terres promises à gogo pour stationner une lune au deux; remplir les malles et redéployer la voile... Bref... Ne t'arrêtes jamais !
Ou tu crèves !

C'est comme çà ma fille... Faut aller de l'avant. Sans quoi tu devient vite un communiste! Sans même t'en être rendu compte...

Et là plus personne ne peut t'aider....

Non plus personne...

Une jeune femme emmitouflé dans une grande cape à capuche, celle si est baissé, laissant apparaître sa longue chevelure brune, répond à son tour.
Elle regarde d'un oeil malicieux et d'un sourire narquois la nouvelle arrivante.

-Tien voilà une autre timide... tu t'entendras bien avec Nala
désignant la fille un question d'un mouvement de tête
Et puis c'est pas étonnant que ta tête soit vide, t'as trop discuté avec Moa, c'est peu être contagieux ce qu'il a tu sais?
Dit elle avec son air glacial habituel
A par ça moi c'est Isabella... t'apprendra à me connaître.

Un grand jeune homme (pas autant que MOA le gentil géant ni aussi largue que Raw ou Roger) a la silhouette déguingandée, arborant un crane chauve suturé et des cernes d'autant plus inquiétantes avec les lueurs mouvantes du feu attendit un moment de calme dans la discution pour prendre brièvement la parole en faisant un signe de main à son accent semblait charrier des galets comme sur le lit d'une rivère...

Salut... Je suis Anatoli... Mais nous nous somme déjà RencontRé, pouR les heRbes médicinales que tu m'a donné...
MeRci encoRe.

Anatoli replongea dans la contemplation des flammes dansantes...

Un jeune personnage quitta lentement la pénombre pour apparaître au yeux de tous éclairer par la lumière du feu. Son visage était pour lors cacher par une cape que la luminosité n’avait pas encore réussis a transpercer. On pouvait qu’entre apercevoir quelque très du visage encore absorber par la noirceur de la nuit déjà avancer. Une cape noir recouvrait en entier le corps de l’individu. De pas en pas les ténèbres se vit perdre le combat face aux nitescences du feu. On pouvait alors reconnaître le visage d’un être. Il était sourient et relativement de bonne humeur. Son regard était illuminant de sagesse et son sourire éloquent de bonté.

C’était bien lui, Sai-X.

Il se tenait non loin là dans l’obscurité lorsqu’il entendu une voie qui lui était étrangère. Il s’approcha donc pour découvrir une nouvelle silhouette. Il s’avança vers la dame pour effectuer son habituelle prestation.

/- N’est-il pas étrange que le ciel, soit-il mauve vert ou d’un bleu argenté, de toute couleur il fini noir en chaque soirée ? Il en est de même sorte que de toute présentation chacune est de tristesse puisque de tel fait cela signifie que tous moments avent celui-ci fut de ceux ou vous étiez a mon regard qu’une inconnue. En ce sens tous jours avent celui fut un jour ou il m’a été donner de ne point vous connaître. Et de ce fait, je suis des plus triste de devoir me présenter a vous!

Sai-X se rapprocha de Kaliandra pour lui faire la révérence.

/- Je suis le Hell Sai-X historien du peuple du Canda.

Il prit la main de Kaliandra pour délicatement y déposer ses lèvres. Il se releva alors de sa révérence pour reprendre la parole.

/- Je suis très honoré de pouvoir faire votre connaissance. Et je suis heureux de vous accueillir comme l’une des nôtres. Mais encore, je n’es point eu le loisir d’entendre votre nom. Pourriez-vous me faire grâce de tel bonheur et me dire a qu’elle dame es-je l’honneur de faire face?

Puis sursautant prèsque

/-Oh, mais pardonner ma personne si j'ai pus vous incomodé de quelconque façon par mes promptes manières.